
Quelquefois, les nuages nous empêchent de lire l’heure en déchiffrant l’angle du ciel avec le sol. Mais la liberté bat des ailes pour l’envol, pour que la misère se rassure et respire, pour que les seuils offrent l’accueil, pour que des larmes la bruine lave et relève les ruines.

Patient patio parmi les parfums du piano, de la lumière hospitalière…

Quand le plâtre et le marbre enfilent des anneaux d’alliance, le premier Sofitel s’approche de l’autel cathédral au cœur de l’Europe : quel solaire cadran tournerait mieux, au milieu de la terre, que la plaine rhénane où monte le gnomon de Notre-Dame de Strasbourg ? Cueillant les sons du temps à l’ombre drue d’une audacieuse aiguille, elle unit à l’azur douze étoiles qui brillent !

Il faut plus qu’un beau grès à ce drapeau sexagénaire, à ces fondations millénaires : de fraternels progrès ! Voilà soixante-cinq ans que l’EurOpe est née : il est temps pour elle d’être illuminée par la claire, jeune, généreuse, vision qui nourrit notre nom et notre vocation.
