
I. M. Hélène Frantz.
Notre amie est partie sans aucun bruit, mais non sans fruit : la porte étroite de la cathédrale a suivi dans la foule son teint d’opale.

Telle Mia Madre, Hélène savait enseigner comme on dilate le lait de la confiance belle et de la vie réelle.

Ainsi chaque élève grimpait aux échelons du savoir frais, car la lecture entraîne et dure…

De même, le climat est une inclinaison où le ciel et la terre échangent les saisons, dans les palais, dans les masures, avec gratitude et mesure.

C’est une échelle droite, appliquée aux parois non pas d’une horloge murale, mais des compositions chorales, transparente à l’haleine attentive d’un Roi.

Puisse la lumière nous rendre dociles en ces fêtes de Lucie et d’Odile, dans la joie d’un jour clair, intense et court : quand des voix nous élèvent afflue soudain la sève qui, des racines aux hauteurs, nous redresse l’ouïe et le cœur.

De la porte étroite à l’échelle droite, il faut un pacte ami pour que l’arche vers vous marche, même quand tout gémit.

Alors chaque être capte ce qui sauve et s’adapte aux promiscuités, aux milieux, même hostiles ou fastidieux.

L’empire du pire meurt sous le sourire qui s’anime au fil du dessin, puis qui délivre nos destins vers l’éclaircie d’une autre porte, sur une échelle fine et forte.
Belles belles photos
Bravo Martine