
DEBOUT : pour prier, pour soigner, dans les tableaux, embrasés par des têtes, de Georges de La Tour dont c’est la fête, mais aussi pour accompagner de pente en butte les jeunes luttes.

De la NUIT l’on passe ensemble alors, comme l’affirme Gaëlle Josse faisant jouer les temps comme des gosses, à “la bougie” qui jamais ne dort, mais “qui se nourrit d’air pour éclairer”, pour enseigner comment cesser d’errer…

A la ROUTE surtout qui nous attend, avec le cœur battant, tout haletant !

Arbres sans fraîcheur, sites sans touristes ; Villes mortes, depuis des siècles tristes, mais reliées par des chansons d'”amour” pour que l’absurde suinte moins lourd, évocation de la femme “enceinte” qui pulvérise toutes les feintes… Finalement “je t’aiderai”, dit l’héroïque mère debout sur l’affreuse misère qui bout : le courage est partage vrai si l’écoute dans l’ombre étincelle en nous frayant une route éternelle.