
Lorsqu’une fenêtre s’imprime dans la lanterne ou bien, en prime, tout au long de la façade en grès, la rue du Jeu des enfants sans regret s’écrie Halte, à coups d’innombrables pavés en couleur et de passants passeurs ivres de chaleur, à l’asphalte du malheur.

Alors La Nuit transfigurée sème ses graines de clarté. Hélas, Jean fut décapité, mais la vie n’est plus emmurée depuis qu’avec l’eau l’Esprit nous baptise et nous guérit.

Quand soudain l’été semble arrêté sous les trembles, l’improvisation – sous l’inspiration de l’humble Troupe naissant d’un groupe – renoue spontanément, dans un aimant élan, avec le génie où la paix apPARAÎT par la Fantaisie.

“Le premier jour de classe” peut même se profiler s’il veut obéir à l’empire harmonique du rire !

Pour peu que sur les champs passe le vent du chant, le bel orage les dévisage.

Le Yucca se réjouit, avec la rose trémière tendue vers l’ondée première, du jeu qui l’éblouit.

Et Le grand méchant Renard vous abrite de la violente averse qui crépite. Puis la gratuité, sans rien ébruiter, rouvre la fenêtre qui vous fait renaître à l’amour de la joie, à la joie de l’amour.