
Nous y revenons sans nous lasser en touristes, oubliant vite alors ce qui peut rendre triste : Colmar a l’art depuis le Moyen Âge d’accueillir les visages, de conjuguer sans fatiguer la lumière et les pierres, les souvenirs et les loisirs, les âpres lices et les délices.

Ainsi, cette cité nous ouvre un grand salon du Livre où partager nos trouvailles au long d’une fin de semaine automnale et morose, où soudain sonneront, en poésie et prose, de tout nouveaux accords entre l’âme et le corps…

Car les livres nous délivrent du passé harassé, nous offrant l’espace à construire, les socs de culture à conduire, des pentes raides à gravir et le bien commun à servir…
Un billet plein de délices ! Bon salon et vive Europe !