
Lorsque Europe développe comme un négatif (au moment où du ciel l’Alsace en sueur reçoit un bloc de glace !) chacun des récifs qui jalonnent sa route, rayonne une autre écoute.

La jeune Russe Anna vendait des MATRiochkas : prise entre deux feux d’impérialisme, elle devint MÈRE, sur un isthme inconfortable, de la liberté qui hors d’Europe ne peut déserter.

On dirait qu’Europe sans fin passe des phares salvateurs aux sables mouvants, au fond des mares. Apollo reparaît, la « Minerve » renaît… Mais sainte Brigitte trouva des pépites autrement précieuses à la paix, qui nous trace son chemin frais pour que l’âme comme un lièvre rebondisse hors des fièvres.

Sa fille l’égérie du climat, la tenace et gracieuse Greta, de son cœur majuscule brave la canicule….Georges Bernanos ne proclamait-il pas, voilà 80 ans, dans Les Grands Cimetières sous la lune : « Le monde va être jugé par les enfants » ?
