
Rasantes clartés : radieux apartés sur un jardin botanique autant que zoologique…

Le panda roux, sur une lumière boisée apparemment apprivoisée, peut filer doux, et les chameaux de Bactriane se reposer parmi les ânes.

Silence sous les rayons qui nous aveuglent. Si rien ne meugle, mobilisons l’attention… En biais, quelle fenêtre voudrait nous faire naître à de nouveaux horizons comme à d’autres unissons ?

puisqu’elles se sont envolées avant le froid mordant.
Suffit-il d’une passerelle pour rendre la vie fraternelle ? Aidons plutôt les abeilles au miel qui veut ruisseler des rayons du ciel.

Sur son axe la musique nous élève aux harmoniques. juste sous quatre yeux, quatre bras, mettant bon ordre à nos fatras par une tendresse invisible qui ne manque jamais sa cible.

Noëls grégoriens de toute l’Europe interprétés par l’Ensemble TRECANVM.
Mais quel abandon sur la paille tressée bâille, déclenchant nos bonds ?

Dans la boîte de luxe, un Crucifié couché frissonne, pardonne, remercie d’avance qui voudra le toucher, puis ramasser la diagonale tenant debout la voûte astrale… Est-ce un berceau, est-ce un tombeau ? Ces articulations transpercées guérissent-elles nos mains gercées ?

Laissons le rayon de soleil semer dans l’oreille l’éveil qui garde prêtes toutes les fêtes. Ardentes clartés d’espace et de BRAiSes, que jamais ne se taisent vos vifs apartés : que de Noël l’emBRASure souffle sur nos engelures !

Justesse et originalité du regard et des mots, et toujours la confiance, l’espérance et une immense tendresse pour notre monde.
MERCI, Martine !
JYves