
Oranges, miel et blé seront-ils rationnés ? Dans quels cas la confiance meurt-elle sous l’alliance ? Comment sortir de l’horizon claquemuré par la raison ? Par bonheur, tout cœur a des fibres tissées par des battements libres…

Et tout coup d’œil est un accueil.

Ainsi la lumière semble une paupière, non point pour protéger, mais pour rendre léger à la grâce chaque espace. Il faut nous habituer à d’autres points de vue, donc éviter de tuer dans leur œuf tant de mues, comme l’enseigna Jean-Frédéric Oberlin, apprenant à tenir tête – et cœur – au Malin !


Le prêt n’est-il pas intrinsèque à toutes les bibliothèques ?

Alors, sur le sol, naissent des envols. Sachons mettre les voiles de la vraie liberté, qui frémit dans les moelles de notre intimité, jusqu’à ce que les roses de l’harmonie éclosent, que les marches du suprême et dansant escalier nous gardent entre nous comme au ciel bien reliés. Seul l’amour écarquille en silence nos grilles.

J’aime bien, Martine, ce lien lumière-paupière / légère.
Eh oui, nous n’avons pas fini d’ouvrir les yeux ni d’accommoder notre regard pour agir en solidarité sans retard.