Qu’il s’agisse de la Bible ou d’un récit traduisible, depuis plus de trois mille ans le livre délivre le cœur – qui demeure enfant, tandis que les rues se sauvent des crues.
Tous les travaux par monts et vaux sculptent la terre sous des doigts frères.
Et les ponts à grands bonds d’une seule volée multiplient les allées sur les puits de la nuit.
Il suffit au four de passer le jour. Dès lors, l’instant crépusculaire d’Europe en promesse lentement se développe.
Alors le piano de Robert fait fructifier même le désert.
Car l’odyssée traverse les millénaires pour réunir les ennemis et les aires dans les valeurs sacrées, de loyauté partagée comme de libre beauté.
Que la terre travaillée garde l’âme émerveillée, vis-à-vis des vies amies, de l’écrit et des cris que l’espérance nous lance, immenses…
Par-delà tout obstacle ou danger, trouvons ensemble comment changer en ateliers de paix et de lumière les chantiers des unions transfrontalières. A Strasbourg, d’après Klaus Schumann et d’après la Gazette de la Robertsau, Lieu d’Europe reste « l’objectif« à réaliser d’un accord vif, pour voir loin grâce à d’autres facettes ! Mais qu’il est long, le chemin, de la boue aux bleus marins, jusqu’à ce que les hommes construisent et que la clarté par leurs yeux luise, alors que piétine la simple intégration et que les images subissent l’oppression !
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